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C'est quoi le Vistemboire des Panoramas? 

Le magasin d'histoires

Expliquer un nouveau concept en quelques mots c'est dur.

A l'époque où j'avais inventé la roue, le feu ou l'Internet, j'avais déjà eu du mal à en faire comprendre le principe en quelques mots. Avec le Vistemboire des Panoramas c'est encore plus dur.

Mais je suis d'une nature optimiste et je postule que, si vous êtes arrivés jusque-là, vous n'en êtes plus à douze lignes près. Alors voici, en douze lignes mais très simplement raconté:

L'activité principale du Vistemboire, c'est de raconter des histoires! Je trouve des histoires belles, étonnantes, intéressantes, amusantes, authentiques (il y en a à la pelle!) et je les raconte en réunissant tous les objets qui s'y rapportent. Cela fait comme un petit musée qui expose des histoires et on vient visiter "l'exposition sur l'histoire du vol de la Joconde", puis à partir du 20 juin, "l'exposition sur les constitutions de la France", puis à partir du 20 juillet, celle sur  "l'Exposition Universelle de 1889", etc. Une histoire à la fois. La visite est entièrement libre et peut durer 5 minutes si vous êtes pressés ou une heure tant que votre curiosité n'est pas assouvie. 

Le Vistemboire est donc un lieu qui offre des histoires et l'entrée est totalement libre !

Comme je n'ai pas la fortune que je mérite et qu'il me faut hélas gagner mon pain sur cette terre, le Vistemboire est aussi un magasin qui vend le souvenir des histoires et toutes sortes d'objets curieux, intéressants, décoratifs ou même plus simplement reliés à l'univers du lieu. On peut profiter gratuitement de l'histoire et acheter un souvenir. Ou juste l'un. Ou juste l'autre.  

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A l'origine du Vistemboire

La création du Vistemboire remonte à si loin, que la mémoire de sa fondation s'est perdu dans la nuit de l'Histoire et fait encore aujourd'hui l'objet d'âpres débats entre experts.

La thèse, longtemps défendue, d'une louve qui aurait nourri un demi-dieu aux mamelles du commerce est aujourd'hui très contestée par les historiens de l'école de Friedland.

L'hypothèse d'une expérience d'alchimiste qui aurait mal tournée au moment de plonger le sou fétiche dans le cratère du Vésuve reste à prouver.

Il est aujourd'hui à peu près avéré que la mention "by appointement to his majesty, William the Conqueror" apposée sur la vitrine est apocryphe. 

Enfin, l'hypothèse de l'école dite "de Grenelle", pourtant toujours soutenue par Michelet et Bainville, d'une simple façade pour une maison de rendez-vous tenue par Lulu la Nantaise,  n'a jamais été prouvée, pas plus que celle du repaire de Vidocq.

Faute de consensus, on en est réduit à considérer encore la version, toutefois hautement fantaisiste, d'un doux dingue qui, après avoir été directeur d'établissement public, créateur d'entreprises, consultant; après avoir travaillé dans les investissements internationaux, les transports publics, l'intelligence économique, etc... serait tombé amoureux du lieu et serait devenu ainsi commerçant à l'orée de la cinquantaine.

Cela semble absurde évidemment, mais souvenez-vous qu'on disait la même chose du Père Noël avant que son existence ne soit scientifiquement démontrée par le professeur Ragout 

Notre équipe

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13 Passage des Panoramas,

75002 Paris, France

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